Les “vrais” hackers

Je vais essayer ici de clarifier le terme “hacker” tel que vu par les hackers eux-mêmes dans la communauté et autres domaines d’activités.

Premièrement, petit lien cinématographique: : Le terme hacker fut utilisé dans plusieurs films à succès comme “Swordfish” avec John Travolta, Hugh Jackman et Halle Berry. Dans ce film, une équipe secret de rebelle terroriste recrute the meilleur hacker au monde (qui essai de rester blanc comme neige après avoir passé des années en prison pour avoir hacker auparavant) afin de voler des milliards de dollars au gouvernement américain. Le terme hacker est largement utilisé dans ce film.

La liste de film à succès sur ce sujet est longue. Voici selon le site “TechSource” les 10 meilleurs films de hacking:
10. Swordfish
9. Track Down (aka Hackers 2)
8. Antitrust
7. Sneakers
6. Die Hard 4: Live Free or Die Hard
5. The Net
4. Hackers
3. Tron
2. The Matrix (Trilogy)
1. WarGames

Tous ces films font références au terme “hacker” et non “cracker”.

Maintenant, autre distinction. La plupart des “vrais” hackers, ou ceux considérés comme les “patenteux” de ce monde, n’aiment pas ce terme puisque selon eux, ce terme est péjoratif et disent que nous devrions utiliser “cracker” plutôt pour définir les gens mal intentionné. Et bien, il existe déjà deux termes distincts pour définir les bons des méchants. En anglais, on utilise les termes “white hat” pour définir les bons, et “black hat” pour les méchants.

Selon hackeralert.com, un black hat, aussi appelé “cracker” (et oui, cracker aussi!), est quelqu’un qui utilise ses compétences avec une intention criminelle. Quelques exemples seraient, de “hacker” des comptes de banques de client afin de transférer l’argent dans son propre compte ou d’entrer frauduleusement sur le réseau privé d’une compagnie, voler l’information (Intellectual Property information) et la revendre à des compétiteurs.

En ce qui concerne les “white hat”, ces derniers utilisent leurs habiletés et connaissances afin de se protéger contre les attaquants. Ils offrent donc leurs services à des entreprises, des organisations publiques ou gouvernementales.

Dans une certaine mesure, tous les hackers (white et black) sont un peu “patenteux”. J’ai l’image de hacker se fabriquant une antenne Wifi à l’aide d’une bouteille de croustille “Pringle” afin de hacker un réseau sans-fil à une grande distance. (http://www.youtube.com/watch?v=betR3vejzg4)

Donc, ce n’est que question d’interprétation, et dans les deux cas, les techniques sont les mêmes, ce n’est que la mentalité qui change.

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Le “Open Source”: Pour toujours gratuit?

Voici un commentaire sur le billet de Philippe Scoffoni à savoir si le “open source” sera toujours gratuit. C’est une excellente question qui mérite réflexion.

Donc, la première question à ce poser, est-ce que les logiciels “open source” sont vraiment gratuit. Selon la définition du GNU, les termes sont que la License open source permet une distribution libre du logiciel. Cela n’exclus pas le droit de le vendre ou de faire payer pour des contrats de service ou support (ce qui est aussi très payant et souvent nécessaire pour la plupart des entreprises qui n’ont pas toute l’expertise “in house”), ce qui est moins nécessaire pour les logiciels comme ceux de Microsoft qui sont tous très bien connu par la majorité des gens d’informatiques.

De plus, il faut faire la nuance entre logiciel librement distribué et gratuit. Lorsque l’on dit qu’il est gratuit cela veut en fait dire qu’il n’a rien coûté (création). C’est bien évidement pas le cas, car les gens doivent passer des heures à les programmer.

Maintenant que la guerre est commencée, une autre question se pose? Pourquoi, si c’est gratuit, les entreprises (qui pourraient facilement sauver des millions justes en coût de License) n’embarquent pas dans le bateau du open source (open office, Linux pour les “desktop”, Linux pour les serveurs, etc)? Je suis convaincu que la réponse n’est pas seulement le coût, mais je peux vous affirmer que la majorité des entreprises vont longuement étudier le dossier s’ils peuvent sauver 10 millions juste pour des licences de Microsoft Office. Et pourtant, il risque encore de rester avec Microsoft, et je crois qu’une des raisons à cela c’est qu’ils ont évalué que même avec le open source, il y a un prix à payer…formation, déploiement, support et autres.

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Vivre libre, des logiciels aux contenus

Vous connaissez probablement les logiciels libres et les principes qui les sous-tendent. Le libre, c’est à mon avis l’expression ultime de l’homme dans ce qui le rend unique : sa capacité à collaborer pour l’avancement de tous. Il s’agit ici de fournir la connaissance sans frais, pour que tous puissent en bénéficier, la réutiliser, la modifier, et créer rapidement de nouvelles connaissances.

L’avènement d’internet a permis de mettre de l’avant des initiatives en ce sens qui, jadis, n’auraient pas été possible avec les moyens de communication de l’époque. Le libre, d’abord appliqué aux logiciels, a bientôt été appliqué à une multitude de créations via des licences dites de “Copyleft“. Ce type de licence englobe plusieurs contenus : des livres, des images, des sites webs, de la musique, etc. Parce que l’art et la culture aussi, devraient être libre. Voici donc une liste de ce que je considère être les meilleurs sites web pour trouver du contenu libre.

Général

http://search.creativecommons.org
http://commons.wikimedia.org/wiki/Main_Page

Littérature
http://www.wikibooks.org/

Musique
http://www.opsound.org
http://www.royaltyfreemusic.com

Art graphique

http://images.google.fr/advanced_image_search?hl=fr (sélectionnez le droit d’utilisation approprié)
http://www.flickr.com/creativecommons/
http://commons.wikimedia.org/wiki/Main_Page

Connaissance
s
http://www.wikipedia.org
http://www.wikihow.com

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Trucs pour maintenir votre vie privée sur le web

Si comme moi vous vous sentez concernés par les informations disponibles à votre sujet sur la toile, sachez qu’il existe certains trucs afin de restreindre la quantité d’information que vous fournissez lorsque vous naviguez sur la toile. Voici donc une liste des 7 meilleures pratiques.

  • Restreignez les sites où vous publiez de l’information
  • Sécurisez votre réseau domestique
  • Utilisez des mots de passes difficiles à deviner
  • Sensibilisez les membres de votre famille à la sécurité de l’information
  • Utilisez des courriels temporaires si vous devez fournir une adresse pour un téléchargement ou autre
  • Si vous visitez des sites peu fréquentables, utilisez un proxy d’anonymat
  • Sécurisez votre compte Facebook

Sources :
http://www.youbux.com/online-privacy-protection-tips/
http://ezinearticles.com/?Keeping-Your-Private-Life-Off-The-Internet—Top-10-Privacy-Protection-Tips&id=808663
http://thenexus.tk/10-way-to-stay-anonymous-online/
http://www.makeuseof.com/tag/the-complete-guide-to-facebook-privacy/

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L’appartenance à une communauté Internet

Selon une enquête de Statistique Canada sur l’appartenance au communauté des Canadiens, il semblerait que ces sentiments sont plus répandus chez les personnes vivant ou ayant vécu dans une région pendant de longues périodes.

D’autres informations révèlent que de nombreux utilisateurs d’Internet profitent de leur connexion pour devenir plus actifs dans leur collectivité, ce qui est une bonne chose en soi. J’ai vu plusieurs communautés utiliser Internet pour recruter des gens ayant besoin de sentiment d’appartenance ou juste pour se désennuyiez. Par exemple, le Club Optimiste (voir http://www.facebook.com/pages/Club-Optimiste-Magog-Orford/112453195473472 ) regroupe un nombre impressionnant de membre qui, de nos jours, utilise Internet et les réseaux sociaux afin de parler de leur communauté.

Les résultats de l’Enquête canadienne sur l’utilisation d’Internet de Statistique Canada montrent que 44,2 % des Canadiens qui utilisaient Internet à leur domicile le faisaient pour se renseigner sur des événements communautaires. Cette activité était particulièrement répandue chez les utilisateurs d’Internet à la maison titulaires d’un diplôme universitaire et résidant dans des régions urbaines au Canada.

Donc, l’appartenance à une communauté Internet passe par les réseaux sociaux et autres qui peut s’avérer un tremplin pour la vie dans une ou dans “la vraie” communauté!

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Gérer votre réputation sur Internet: Pas chose facile!

À prime à bord, il semblerait que nous n’ayons pas à nous soucier de “gérer” notre réputation sur Internet, mais lisez ces quelques exemples et vous serez convaincu du contraire!

Publié sur le blogue de Frédéric Desjardins, Directeur d’Hegemony Media, voici quelques exemples de problème de réputation pouvant être nuisible: Deux employés d’une pizzeria ont téléchargé des vidéos sur Youtube montrant des pratiques écœurantes lors de la préparation de pizzas. Ces scènes ont été filmées discrètement à l’aide de leurs caméras de téléphone cellulaire. Le propriétaire du restaurant a géré la crise en postant une vidéo contenant la réponse officielle du restaurant sur Youtube.

Il y a 16 ans, un cadre haut placé d’une société française œuvrant à Montréal a commis une erreur nuisible qui fut rendue publique. Il a passé des années à regretter sa décision et a finalement abandonné sa profession. Il a trouvé un nouveau travail honnête et, en 2008, a accepté un poste prometteur au sein d’une société connue à New York. En 2009, un collègue a fouillé au sujet de son passé sur le moteur de recherche Google et a trouvé les renseignements négatifs. Le cadre a été congédié sur-le-champ lorsque son employeur a appris ses antécédents.

En 2009 également, une petite entreprise de la ville de Québec s’est rendu compte qu’un concurrent publiait des commentaires négatifs anonymes sur un blogue qu’il avait créé et qui était relié au domaine d’activité dans lequel œuvrait cette entreprise. Le jour suivant, son blogue se classait en deuxième sur Yahoo! lorsqu’on recherchait la compagnie. Prendre le temps de répondre à ces commentaires fut une perte de temps et d’argent considérable pour les responsables de cette entreprise.

Ces exemples montrent que ces gens ou les gestionnaires d’entreprises ne prennent pas au sérieux la puissance d’Internet sur votre réputation. Quand quelqu’un fabrique à tort votre identité et trouble votre réputation, c’est une chose, mais quand c’est vraiment votre réputation qui est problématique et vous suit partout, et bien à qui la faute? Il nous faut des années à se bâtir notre réputation alors il est impératif d’y faire attention.

 

Comme le dit si bien Frédéric Desjardins, ont met des années à bâtir notre réputation et elle peut parfois être détruites en quelques heures. Un seul commentaire négatif sur Internet et c’est parti| La calomnie, la rumeur, la désinformation, la manipulation ou la propagande ont toujours existé. Mais aujourd’hui, la vitesse de propagation du message ainsi que sa portée sont décuplés.

Donc voici ce qu’il suggère et ce que je recommande aussi:

Faire le suivi : repérer qui parle de vous sur Internet, de votre personnel, de votre marque de commerce, de vos produits, de vos services, de tout ce qui vous concerne. Si on parle de vous, vous devez le savoir au moment où cela arrive.

Pour ce faire, une petite recherche sur Google vous sera très révélatrice! Pour plus de détail et d’autres idées, allez lire son billet sur le sujet: http://hegemony.ca/2011/01/14/rss1/

Réparer : si, lors de votre suivi, vous avez trouvé de l’information négative ou un blogueur mécontent, vous voudrez savoir quoi faire pour corriger la situation. Si vous vous y prenez de la mauvaise manière, la situation peut empirer.

Gérer : vous devez développer une stratégie faisant en sorte que ceux qui parlent en mal de vous sur Internet deviennent moins nuisibles. C’est la clé du succès sur le Web.

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Facebook nous rend-il vraiment triste?

Une récente étude affirme que Facebook nous rend triste. Apparemment, les gens y publient majoritairement des événements positifs et puisque nous avons tendance à nous comparer, ceci donne l’impression que nous sommes les seuls à vivre de mauvais moments tandis que les autres vivent le parfait bonheur. Plusieurs personnes ont commenté les résultats de cette étude sur leur blogue.

Tout d’abord, dans son billet intitulé Pourquoi Facebook nous rend triste, Éric Mainville résume bien les résultats de l’étude. Cependant, les commentaires à la suite de son billet me rendent un peu perplexe. Effectivement, certains suggèrent que Facebook est un jeu, ce qui à mon avis est complètement faux. D’accord, ce réseau social peut être un divertissement, mais à la base il s’agit d’un outil permettant de créer des liens entre les utilisateurs afin de partage et de communiquer des informations. Créer des liens entre des utilisateurs est-ce vraiment un jeu? Quel est donc le but de ce jeu alors? Avoir le plus d’amis? Probablement que plusieurs personnes répondent oui à ces questions, mais personnellement j’utilise Facebook pour bien d’autres raisons!

Pour revenir à l’étude qui prétend que Facebook nous rend triste, je suis portée à mettre en doute l’interprétation des résultats. Selon moi, ce phénomène de tristesse doit être observé seulement chez certains types de personnes. Ce sont probablement ceux de nature mélancolique qui se sentent triste après être allés sur Facebook. Donc, ces gens doivent être attristés tout autant sans ce réseau social.

De plus, je ne crois pas que les gens ne partagent que leurs bons coups. Pour ma part, je partage mes mauvaises passes sur Facebook (problème de voiture, grippe, examen qui s’est mal déroulé…) sans me sentir « loser » et lorsque je vois les bons coups des autres utilisateurs, je me dis « Ah, c’est cool » et je suis contente pour eux. Je suis loin de me sentir triste et de trouver ma vie plate!

Enfin, même si les gens sur Facebook y présentent différentes facettes de leur identité, je suis persuadée qu’une saine utilisation de cet outil, effectué par une saine personne, n’entraîne aucun effet négatif sur celle-ci. Il faut donc savoir doser son usage et rester conscient que la vie est beaucoup plus qu’un simple statut sur Facebook!

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L’avenir du livre…

En faisant du chemin sur l’idée de mon blogue précédent intitulé L’avenir des médias imprimés : totalement numérique?, je me suis demandé ce qu’il en était pour l’industrie du livre. La tablette de lecture numérique aurait-elle un aussi gros impact sur cette industrie? Selon mes recherches et connaissances, la réponse est négative. En fait, après avoir connu une régression, les ventes de livres neufs ont repris selon les données de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) . La progression globale, en incluant tous les types de librairies, qu’elles soient à grande surface, indépendantes ou en milieu scolaire, représente une croissance de 3 %, passant de 789 millions à 811 millions en 2009. Malheureusement, ce sont principalement les établissements à grand déploiement qui ont enregistré des hausses. La situation est un peu plus affligeante pour les librairies indépendantes, hors du milieu scolaire, qui n’ont pas pu s’en sortir aussi convenablement. Depuis 2005, les affaires des librairies indépendantes sont en chute, au même titre que les revenus des auteurs, au profit des grosses librairies comme Archambault et des maisons d’édition comme Groupe Librex qui enregistrent des revenus titanesques, toutes deux propriétés de Quebecor Media.

C’est fou à quel point ce géant de l’industrie ne cesse de croître. Encore récemment, nous l’avons vu faire un partenariat avec la ville de Québec pour la conception du nouveau Colisée. C’est à se demander si la compagnie ne va pas finir par gober la SRC et autres sociétés à force d’étendre ses tentacules partout.

Bref, pour revenir sur le sujet initial, nous pouvons être tranquilles quant à l’avenir du livre : nous ne sommes pas prêts de ne plus pouvoir lire un bon vieux livre en papier. Les gens aiment la littérature papier, son odeur et son format : un livre a du cachet et cela plaît!

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La cyberdépendance

Alcool, drogues, gambling, cigarettes, café, chocolat et même affection… peu importe le niveau et l’objet, qui n’aime pas profiter des bonnes choses de la vie? Là où il faut commencer à s’inquiéter, c’est lorsqu’un plaisir ou une passion devient excessif.

L’avènement d’Internet a créé une véritable euphorie et au même titre que les dépendances énumérées ci-dessus, voilà qu’un nouveau vice est né : la cyberdépendance.

Un blogue d’Axel Belliard intitulé Faut-il avoir peur de la cyberdépendance? expose divers avis sur la question. Selon lui, la majorité des experts reconnaissent cette dépendance comme une maladie psychologique curable, mais certains affirment que cet engouement technologique relève simplement de la passion. Je suis partiellement d’accord avec ces derniers dans la mesure où nous avons la chance d’évoluer dans cet univers technologique qui est si fascinant et tellement pratique dans notre vie quotidienne qu’il est facile de s’y laisser entraîner. Ceux qui défendent cette dernière position selon laquelle la cyberdépendance ne serait pas une véritable dépendance évoque le fait qu’elle n’est pas physique. Personnellement, je ne partage pas cet avis : une dépendance, qu’elle soit physique ou non, si elle affecte la stabilité psychologique d’un individu, c’est suffisant pour considérer qu’il s’agit d’un comportement compulsif.

Je pense qu’on ne peut nier le fait que les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) créent un phénomène de dépendance qui peut amener des effets pervers. À cet effet, un article de Fabien Deglise dans Le Devoir du 10 mars dernier intitulé Distraits, les cyberdépendants? évoque le fait que des troubles de l’attention, du sommeil ou encore l’hyperactivité seraient, entre autres, des conséquences de la cyberdépendance. Je pense également aux fonctionnaires qui ont été congédiés pour avoir passé trop de temps sur Internet à des fins personnelles sur leurs heures de travail. Sans oublier les cas concrets de personnes qui négligent leur vie sociale et qui souffrent d’isolement à cause de leur dépendance…

Donc, c’est malheureux, mais il m’apparait évident qu’il existe des cyberdépendants et qu’il y a des conséquences néfastes reliées à cette maladie, ce pourquoi il faut rester prudent et attentif à ce qui se passe autour de nous. En même temps, les TI ont tellement pénétré et envahi toutes les sphères de la vie qu’il devient difficile de tracer la ligne entre le raisonnable et l’abus. J’ai l’impression que les compagnies technologiques font tout pour que nous devenions accrocs : convergence des outils technologiques, accessibilité par la mobilité, etc.

C’est un problème, à bien des niveaux, mais à mon avis, ce n’est pas demain la veille qu’il va se régler. À la limite, j’ai peur que la cyberdépendance se développe qu’en s’amplifiant, car nous ne connaissons pas encore tout le potentiel des technologies de l’information et je crois que ce domaine est loin d’avoir atteint son apogée!

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La propagation virale -Pourquoi pas?

La propagation virale – Pourquoi pas?

Tous le monde veut sa place sur la toile, alors pourquoi ne pas utiliser la propagation virale pour faire connaître votre entreprise ou votre produit!

Malgré le fait que plusieurs croient à tors que c’est facile et accessible à tous, ce faire connaître sur Internet demande des efforts, à moins que ce ne soit que pour “vos niaiseries”, dans ce cas, cela peut s’avérer plus facile et sans risque. Et pour certain, cette optique demeure aussi intéressante. Voici pourquoi et comment:

Les vidéos virales:

  • Créer une vidéo de Teasing courte que vous publierez sur Youtube ensuite une seconde avec le contenu réel que vous publierez uniquement sur votre site web (blog ou autre peu importe)
  • Créer une vidéo sur une niche particulière que vous traitez mais sous format de questions réponses, typiquement les questions peuvent être posé par une voix off ou en sous titrage, et vous répondrez à ces questions sur cette vidéo.
  • Une variante de questions réponses et de poser vous même les questions et en laissant aux internautes quelques secondes pour penser aux réponses, n hésitez pas à meubler pendant l’interlude en leur donnant des indices. Pour les questions réponses, vous pouvez vous inspirez soit de votre expérience personnelle soit en faisant une recherche sur Google par exemple.
  • Organisez un concours avec des cadeaux intéressants et annoncez le sur la vidéo avec un lien en fin de vidéo vers le site du concours .
  • Créer une vidéo drôle, parodique,Un lipsync ou encore un lipdub (exemple ci dessous avec une version coréenne du Numa numa Star des lipsync (http://www.youtube.com/watch?v=V1M-sWWonjo&feature=player_embedded)

Eric D.

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